Je dis bien était parcequ'il avait résisté à plusieurs départs en vacances et régimes moulty-amaigrissants de ce fait. Cette fois-ci le bestiau fut retrouvé inerte et le bide plutôt très en l'air pas plus tard qu'hier...
La faute à notre vie de famille trépidante de ces derniers temps ?
Crises de larmes dans la chaumière.
Autant de la mère que du fils.
J'étais totalement remuée d'assister à la peine réelle et profonde de mon petit garçon. Et non chère amie des Amidonniers, après mûre réflexion je crois qu'ici il ne s'agissait pas d'hormones ;-) J'étais émue de voir ses expressions, ses larmes, d'entendre sa respiration saccadée, et de réaliser que son gros chagrin reflétait ce que la perte d'un être peut avoir de remuant et douloureux.
Et puis après sont venues les questions. Pour lui, pour moi. Et comment expliquer la mort à un petit bonhomme ? Mince alors. Je me suis retrouvée bien bête sur le sujet.
Ça me fait penser qu'il n'y a pas que sur cette question que je sèche, et que je ferais bien de me mettre à méditer de temps à autre, histoire de me recentrer sur l'essentiel: les interrogations existentielles dont les enfants ont le chic de nous faire part...
Question maintenant, il veut un nouveau Joafish...
Moi je suis d'accord pour un autre locataire aquariumesque qui ne fait rien que nous donner du taf en plus (vu le nombre de couches changées de Barthy-coco nous ne sommes plus à quelques cacas près...), mais de là à l'appeler Joafish, bof, bof.
On peut faire comme pour les bateaux genre le Pen Duick II ?
donc Joafish II ?
Attation les gens, vu notre étourderie actuelle préparez-vous à une saga des Joafish. Après II, il y a III, IV, V etc...
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